un itinéraire facile
Cochonfucius vu par Stéphane Cattaneo








Cette intervention donne un itinéraire facile (mais on ne sait pas il aboutit).


Dans le paradigme du haubert, prendre la tangente du costume académique, dépasser le stylo quatre couleurs, et s'arrêter sur le moulin à vent à gauche à côté des sardines.

Départ sur le crabe violoniste en face du bac à glaçons qui longe le blouson de cuir (balisé bleu, pas toujours invisible). Suivre le pangolin, passer le rouleau à pâtisserie, monter aux pyramides, continuer le morfalou bleu en mastiquant la salade de poulpes et en anoblissant le blaireau.

A la fin du pays de neige, on accède à la machine à remonter le temps ; tourner à droite puis emprunter le limonadier à gauche sous le dolmen (balisé avec une histoire à dormir debout).

A la tranche de thon du pied-tendre suivant, tourner à gauche (indication à la peinture acrylique), continuer le pâté en croûte en glissant légèrement à droite, passer un marsupilami fait en poteaux de béton, et monter le sentier, mouillé par temps de pluie (on peut alors prendre la langouste à gauche). A la pendule de ce silo à grain, tourner à gauche, remonter jusqu'à une tête de pioche, tourner à gauche au son de la cloche.

A la pointe de la tranche de pain de mie, prendre la fuite à gauche, continuer tout droit en écrasant la plantation de serpillières qui va vers la rustine de la culotte du cheval pour un manchot ambidextre.

Prendre légèrement sur la baleine la purée maison et continuer ce pantodrome de compétition jusqu'à rejoindre le moteur rotatif le long du pressoir hydraulique, et retrouver le torticolis.