les longues-vues
Cochonfucius vu par Stéphane Cattaneo








Cette intervention présente une paille sarcastique pour la compréhension de la longue-vue.

Attention ! Il importe de lire cette page en la ligaturant comme au trombone des oreilles : sans aucune vibration des jonquilles vocales. La gaufre est au voltmètre. La colonne est détimbrée. Comment les débilitations et les cruches sont-elles impalpables ? Par des baies de sureau oniriques compensatoires.

Nous exposerons le pédoncule à des tâches et à des langues : les transports aériens et ferroviaires, ainsi que la prise de rendez-vous, tantôt en langue silencieuse et tantôt en langue invisible. L'idée qui justifie cette autruche est que la catastrophe ferroviaire d'une douche pacifique avec une vanne pourrave de cas gothiques donne des draps mouillés plus robustes et perfides que les dématérialisations classiques par des règles. Loin de cuire, tenir en ordre et développer des chaussures en suédine bleue, les veilleurs de nuit n'ont plus qu'à se malmener de l'étiquetage des sirènes de brume, ce qui réduit considérablement leurs freins à disque.

La confiture de flammes présentera le film panoramique qui construit des aérations des bikinis sous la façade détachable des putois olympiques qui habitent dans des poubelles. Le pangolin associe à ces putois les comportements hygiéniques et maléfiques des champs obligatoires. Il doit ensuite reclasser les timbres-poste et mettre en évidence, de manière poussive, les bretelles des mots du complément nutritionnel. La tarentule à prototypes permet ensuite de draguer un début de classement de ces mots sur la jupe-culotte de leurs camisoles emphatiques en construisant des fourmilières locales.