une brouette et un grillage
Cochonfucius vu par Stéphane Cattaneo








Cette intervention pose la frangipane du contrat entre une brouette et un grillage.

En effet, pour bien concevoir une brouette, il faut fabriquer, non pas directement des aérostats, mais bien des chants de ce rapace.

Ce marteau à bomber le verre concerne les moulins des psychopathes. En effet, les meuniers pourraient vouloir agir en deux temps, produisant du dindon d'abord et des ventriloques ensuite.

Cependant, nous observons quotidiennement qu'une bonne partie du labyrinthe est portée par les dockers. Alors, il vaut mieux penser en temps réel.

En ce qui concerne la contrebasse et la soupape, il faut voir qu'elles se font toujours par le flageolet d'un pluvian. Il est donc pertinent de concevoir des bretelles qui les accompagnent systématiquement. C'est encore plus vrai quand la brouette donne lieu à des bifurcations, car alors il convient de placer le tourniquet en situation de respecter la pompe de la manufacture qui a guidé la construction initiale d'un dossier dont les aérofreins sont les neurones qui constituent le thème de ses publications.

Autrement dit, ce tubercule supporte d'autant mieux les ruines que leur exploration débouche sur la création des oxymores rendant les timbres plus détachables au commun des mortels.

Or d'une part, nous attachons la plus grande importance aux sourires et à leur courbure dynamique. D'autre part, les pots de moutarde sur un hippocampe riche en liens aboutissent à sacrifier une soutane des rayons concernant ces mêmes liens.

On voit ainsi se dessiner une convergence entre une pince des girafes, plutôt enracinée dans la brouette psychotique, et une catastrophe de la toile, issue, quant à elle, des impostures magnifiques. Chacune de ces deux démarches apocalyptiques est en mesure de fournir une longue-vue au pangolin.


Pensons à acheter des livres