Jocelyne Ollivier-Henry, interrogée par Cypris Kophidès, évoque ses deux séjours dans le village le plus septentrional du Groenland, Siorapaluk, en 1990-1991 et 1994-1995. Ayant appris le dialecte groenlandais du Nord, cette intrépide exploratrice parvient à trouver sa place dans cette minuscule population installée au bout du monde. Certes, les Inuit sont davantage accoutumés à recevoir des visites masculines, mais cette situation insolite ne leur déplaît finalement pas. | ||